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Halloween sans perdre la tête (ni son âme)

Explorer comment Halloween, à la croisée de traditions païennes et chrétiennes, influe sur nos représentations de la peur et de la mort, et proposer des pistes de discernement pour célébrer sans se perdre.

Chaque 31 octobre, les rues se remplissent de petits monstres en quête de bonbons. Mais derrière les rires et les citrouilles lumineuses, Halloween nous dit aussi quelque chose sur notre rapport à la mort, au mal… et à la lumière. Alors : fête inoffensive ou glissade vers le morbide ? Ni procès, ni panique : prenons juste un peu de recul.

Halloween sans perdre la tête (ni son âme)

Explorer comment Halloween, à la croisée de traditions païennes et chrétiennes, influe sur nos représentations de la peur et de la mort, et proposer des pistes de discernement pour célébrer sans se perdre.

Chaque 31 octobre, les rues se remplissent de petits monstres en quête de bonbons. Mais derrière les rires et les citrouilles lumineuses, Halloween nous dit aussi quelque chose sur notre rapport à la mort, au mal… et à la lumière. Alors : fête inoffensive ou glissade vers le morbide ? Ni procès, ni panique : prenons juste un peu de recul.

Origines et survivances symboliques

Halloween vient de loin — très loin même, du Samhain celtique, une fête marquant la fin des récoltes et un moment propice au dialogue (symbolique) entre les vivants et les morts. Depuis, le tout a été remixé version anglo-saxonne et exporté, bonbons inclus. Résultat : des squelettes rigolos, des fantômes gentils… et parfois une fascination un peu glauque. Quand la mort devient un décor, on risque d’oublier qu’elle est aussi un mystère à respecter.

 La peur jouée, effets réels

Jouer à se faire peur, c’est humain — et même utile ! On apprivoise l’inconnu, comme quand un enfant vérifie que le monstre sous le lit n’est qu’une chaussette perdue. Mais à force de croiser zombies et poupées possédées sans aucun filtre, on peut finir par banaliser ce qui devrait rester un peu sacré. Bonne nouvelle : la simple présence d’un adulte bienveillant suffit souvent à remettre les choses à leur place. Un peu comme un GPS spirituel.

 Repères spirituels et éducation

Pas besoin de bannir Halloween — mais on peut lui donner un supplément d’âme. Parler de la mort avec simplicité, allumer une bougie, évoquer un souvenir joyeux… Ces gestes simples aident les enfants à relier cette fête à l’espérance plutôt qu’au frisson gratuit. Car il n’y a rien de plus fort que la lumière, même quand elle vient d’une citrouille.

 « Ne prenez point part aux œuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez-les. » – Éphésiens 5,11

Pour aller plus loin : 

La fascination obscure d’Halloween – interview d’un exorciste

Pourquoi les gens portent-ils des costumes pour Halloween ?

 Halloween, fête d’origine païenne ?

Halloween : fête plaisante ou paradoxale ?

 Quelle différence entre Halloween, la Toussaint et la Fête des morts ?

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