Est ce que nos proches décédés nous observent ou nous guident ? Il semble de plus en plus évident à travers les témoignages de personnes endeuillées, que la mort n’est pas une fin. Nombre d’entre eux parlent de « présence. ». Mais qu’en est il réellement ? Qu’en disent les professionnels ?
1. Des expériences sur l’au-delà
Qui n’a pas accompagné ou entendu un de ses proches raconter sur le ton de la confidence que parfois des sensations de caresses, des papillons, de la musique, des chants d’oiseau répétitifs à des moments précis les réconfortent grandement au milieu de leur peine , et leur semble être un signe ? Il est facile de mettre sur le compte de la dépression ou de la tristesse ces propos parfois dérangeant et qui semblent sans fondement. Mais leur constante répétition, leur variété, et le nombre croissant de personnes osant le divulguer forcent à s’interroger.
2. Une relation à travers temps et culture
En Egypte Antique, parce qu’ils croyaient qu’après la mort, une nouvelle vie commençait au pays des dieux, il fallait que les corps soient embaumés et ensuite conduits au tombeau avec tous les objets (aliments, meubles objets de toilette..) pour que la vie dans l’au-delà soit confortable. Aujourd’hui, l’espérance chrétienne affirme que le défunt est vivant, que nos relations d’amour ne sont pas coupées et que nous sommes liés à eux
Or pour les chrétiens, La mort est une séparation. Les liens semblent à tout jamais rompus. Mais, dans la foi, nous entrons dans une nouvelle relation. En effet existe une profonde communion spirituelle portée par la prière et l’espérance de se retrouver un jour.» Notre prière pour eux peut non seulement les aider mais aussi rendre efficace leur intercession en notre faveur ». Catéchisme de l’Église catholique n°958.
« Nous ne voulons pas vous laisser dans l’ignorance au sujet de ceux qui se sont endormis dans la mort ; il ne faut pas que vous soyez abattus comme les autres, qui n’ont pas d’espérance (Saint Paul, 1ere lettre aux Thessaloniciens 4 (13-14).
3. Des guides qui procurent de la joie et de l’apaisement
« Ne pleurez pas, je vous serai plus utile après ma mort et je vous aiderai plus efficacement que pendant ma vie. » disait Saint Dominique, mourant, à ses frères, Ste Thérèse a confié dans ses écrits, quelle passerait le Ciel à faire du bien sur la terre En effet, les miracles ou guérisons, faits surnaturels non expliqués par la science attestent de ces interventions de l’Au-delà que certains nomment « le Ciel ».
4. La parole des professionnels aujourd’hui
Qu’ils soient soignants, ou accompagnateurs spirituels, ils reçoivent des confidences sur ce sujet. Au point que de nombreuses recherches voient le jour pour comprendre et affiner la perception de cet « après la mort. Comme Christophe Fauré, psychiatre :
Ou encore à Notre Dame de Montligeon, sanctuaire catholique. Souvent la conscience populaire, son intuition, précède la reconnaissance scientifique. Donc,Il faut surtout retenir les effets positifs de tous ces dires qui montrent une réalité comme voilée. Car cela atteste malgré tout de liens apaisants, réconfortants. Susciter de la joie, semble être le passe-temps favori de ces proches.
Ces échanges qui nous tendent vers l’Éternité ne nous poussent ils pas finalement à donner plus de sens à notre vie ? Et vous qu’en pensez-vous ? Venez chat’er avec nous !
- Pour aller plus loin : Jourdain de Saxe, lib. 93. Cité par le Catéchisme de l’Eglise catholique, n°956 – lire aussi cet article sur la communion des saints
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